Neige [en cours]

Moi non plus, j'dirais pas non... Ils ont tous tarés, on irait bien avec loul

Et, alors que je remontais le bateau vers la proue, je distinguais dans la lumière blafarde de la lune un long navire aux voiles blanches, ancré à plusieurs centaines de mètres du nôtre.
- Un navire de cette taille ?!, m’exclamais-je, Mais à quoi pense le Capitaine ?!
- Il pense que ce navire navigue depuis bien trop longtemps pour que son équipage soit capable de se défendre correctement et qu’on a de grandes chances de réussir un abordage très fructueux.
Neige se pencha au-dessus du trou qui nous servait à communiquer avec la cale sans avoir à y descendre. Les pirates du dessous jouaient aux cartes ou ronflaient.
- Éteignez les lumières, dit-elle, Nous devons nous faire discrets.
Les bougies furent toutes éteintes et les joueurs poursuivirent leur partie, baignés par la lueur de la lune. Neige se redressa et se rendit près du canon avant. Nous le tirâmes jusqu’à sa place d’attaque et le calèrent pour qu’il ne bouge plus.
- Et maintenant ?, demandais-je.
- Maintenant, dit-elle, Tu m’attends ici.
Elle s’éloigna et je m’assis contre le canon. J’attendis ainsi un long moment, me demandant bien quelle serait la suite des événements. Puis Neige remonta des cabines et vint s’asseoir à côté de moi.
- Jack, tu vas devoir m’écouter très attentivement.
Elle plongea son regard dans le mien et voyant que je lui offrais toute mon attention, elle poursuivit.
- Ce que toi et moi on va faire, ça s’appelle du suicide.
Le silence régnait sur le bateau, seuls les craquements de la coque qui tanguait résonnaient dans la nuit, même les ronflements en bas s’étaient tus.
- C’est-à-dire ?, interrogeais-je.
- Tous les deux, on va nager jusqu’au bateau et y monter. Tout devra se faire silencieusement, tu m’as bien comprise ? Il ne faut surtout pas qu’on nous repère ou je te laisse deviner ce qu’il adviendra de nous.
- T’inquiètes pas, je connais mon boulot.
Elle sourit et hocha la tête.
- Bien. Une fois qu’on aura neutralisé les gardes qui sont sur le pont, on les a comptés, ils sont quatre, on allumera cette torche et les gars nous rejoindront en canots. Ce sont des Français, donc du gâteau.
J’eus un sourire en coin et elle se redressa. Je fis de même tandis qu’elle disait au pirate qui était en train de détacher les canots :
- Nous y allons, tenez-vous prêts.
- Bon courage, Mam’zelle Neige. Toi aussi, le Moineau.
Tandis qu’il reprenait sa tache, nous nous retournâmes et redescendirent jusqu’à la poupe. Le grand Tim n’était plus là. Neige grimpa sur la rambarde et se tourna vers moi, alors que je l’imitais.
- À toi l’honneur, dis-je avec un geste impétueux de la main.
Elle effectua un plongeon parfait tête la première et ressortit quelques mètres plus loin. Je vis juste son foulard blanc émerger avant de plonger à mon tour pour la rejoindre. Quand je fus près d’elle, elle me parut bizarre.
- Ça va ?, lui demandais-je.
- J’ai un mauvais pressentiment.
Nous restâmes un moment silencieux, puis sans un mot, nous nous dirigeâmes vers le navire, nageant à la même vitesse. Nous parvînmes à la coque luisante du navire français. Là, Neige appuya une main contre la coque et regarda vers le haut. Elle soupira.
- J’ai vraiment un mauvais pressentiment.
Elle se propulsa hors de l’eau et attrapa la corde de l’ancre. Elle resta un moment suspendue à celle-ci puis elle se laissa de nouveau glisser dans l’eau et me fit face.
- Pourquoi tu... ?, commençais-je à demander.
Mais elle me coupa en déposant délicatement ses lèvres sur les miennes. Cela ne dura qu’une fraction de seconde, mais ce baiser me transporta à des kilomètres de ce navire que nous nous apprêtions à piller. Loin de s’émouvoir, Neige aggripa une nouvelle fois la corde et commença à grimper le long de l’épais cordage. Je la regardais un instant puis l’imitais. Quand nous fûmes tous deux accroupis sur le pont, je fis un rapide repérage des lieux. Les quatre gardes étaient répartis par deux à la proue et à la poupe. Je tirais mon couteau et Neige me fit signe de prendre ceux de gauche. Nous nous redressâmes d’un même mouvement et égorgèrent par derrière les deux premiers gardes. Avançant silencieusement vers la poupe, je notais l’armement avec intérêt. Quant les deux derniers gardes furent neutralisés, Neige se redressa et grimpa sur la rambarde. Elle prit la torche à sa ceinture et l’alluma avant de l’agiter en faisant de grands signaux de droite à gauche. Une torche sur le Gardien lui répondit bientôt et elle éteignit la sienne avant de redescendre sur le pont.
- Ils ne vont plus tarder maintenant, murmura-t-elle, On ferait bien de mettre le maximum de l’armement hors service.
Tandis que je jetais la poudre à canon à l’eau, Neige mouilla toutes les mèches. Puis, elle attacha une corde autour de ses pieds et me demanda de la faire descendre lentement jusqu’au gouvernail, qui, une fois qu’elle fut à sa hauteur, fut condamné à ne plus pouvoir guidé de bateau. Quand ce dernier travail fut effectué, les canots arrivèrent et se positionnèrent lentement et sans bruit contre la coque. Nous lançâmes des cordes à leurs occupants et ils furent bientôt tous sur le pont.

Niaaaaaah, tout l'monde s'en fout ? Y a qu'ma soeur qui lit ?

Nan, moi j'ai commencé, mais j'ai à peine fini le premier extrait! xD

Mdr, merci d'y être déjà loul

Voilà j'ai lu! =D
Hey c'est tout différent mais j'aime beaucoup! Elle a du cran la petite Neige!

Oui, c'est différent. En même temps, j'l'ai écrite avant d'aller sur la PO.

Mais ça change, et j'aime bien.
=)

Et bien, tant mieux loul Si ça t'plaît^^

Robyne a écrit:

Et bien, tant mieux loul Si ça t'plaît^^

Allez balance la suite!
Attention je deviens méchante! xD

... OK... J'aime pas les méchantes... ! xD

C'est un peu triste... loul

Ce fut le Capitaine qui donna le signal pour commencer le pillage : il alluma une torche et mit le feu aux voiles. Après quelques instants, un premier homme sortit de la cale pour voir se qui se passait. Il hurla et le Sanguinaire lui mit une balle dans la tête pour le faire taire. Tout l’équipage sortit bientôt et mieux armés que nous ne l’avions prévus. Mais nous n’étions pas du genre à abandonner...

Je ne sus combien de temps nous restâmes à nous battre sur ce pont, mais je me rendis très bien compte que le nombre de marins français ne diminuait que peu alors que le nôtre semblait en chute libre. Je voyais mes frères d’arme tomber les uns après les autres. En essayant de ne pas y faire attention, je me battais contre autant de français qu’il était possible et me défendais plutôt bien, même si mon pistolet allait bientôt être à court de munitions. Alors que je réduisais deux marins au silence, un claquement retentissant me fit sursauter. Je me retournai pour voir Neige, se tenant debout au milieu des flammes, une lueur de folie dans les yeux. Elle tenait son fouet à la main et autour d’elle gisaient les corps lacérés de plusieurs marins. Elle fit de nouveau claquer son fouet et celui s’enroula autour du mat. Elle s’y cramponna et traversa le pont dans les airs, fauchant au passage une ou deux têtes, pour atterrir au milieu d’un groupe de français. Elle tira ses deux sabres et commença de se battre à deux lames, donnant des coups là où il fallait quand il le fallait, le tout avec une coordination parfaite. On eût dit qu’elle dansait. Mais bien vite je dus détourner les yeux de ce spectacle pour les reporter sur mes adversaires. Soudain, Neige fut contre mon dos et sa voix me glissa :
- Les gars ont pris l’or, on se replie avant qu’il y ait trop de morts.
- Je te suis.
- Non, vas-t-en tout de suite, il me reste quelque chose à faire.
Elle prit alors les trois sacs de poudre que j’avais accrochés à ma ceinture, fit claquer son fouet et de la même manière que tout à l’heure, s’envola dans les airs.
- Neige !
Mais elle était déjà loin. Je maudis sa folie et suivis les autres pour nous échapper dans les canots. Quand tout le monde fut à bord, il ne manquait plus que Neige et le Capitaine. Prenant la tête des opérations, je fis rapatrier les blessés en priorité et ne gardais qu’une embarcation, celle où je me trouvais avec le Sanguinaire. Le Capitaine apparut soudain au-dessus de nous et je lui criais de sauter, mais il tomba littéralement sur nous. De profondes blessures tailladaient son dos et saignaient abondamment.
- Il faut retourner au Gardien pour le soigner, me dit le Sanguinaire.
- Tu veux laisser Neige là ?!
- Elle s’en sortira, tu la connais.
- Il n’en est pas question !
- Fais pas de sentiments, le Moineau ! C’est pas le moment ! Un pirate qui reste en arrière est laissé en arrière, tu connais le code !
Je le défiais du regard un instant puis je dus me résigner à ramer jusqu’au Gardien en sachant qu’il ne restait plus qu’un des nôtres sur ce foutu navire et qu’elle risquait sa vie à chaque seconde. Soudain, je vis une ombre plonger à l’eau et le navire français explosa.
- Neige !, hurlai-je.
Je laissai le Capitaine aux soins du Sanguinaire et me mettai à l’eau pour rejoindre son second. Quand j’y parvins, celle-ci me lança un regard étonné.
- Qu’est-ce que tu fous là ?
- J’viens t’chercher. Ça va ?
- J’suis entière. Et le Capitaine, je l’ai vu s’écrouler par-dessus bord ?
- C’est bon, il est tombé dans notre canot, mais il est mal en point.
- Fais chier !
Elle se remit à nager et je la suivis.

Après être revenue au Gardien, Neige s’était enfermée avec le Capitaine dans sa cabine sans que personne ne fût autorisé à rentrer. Nous savions tous qu’elle faisait tout pour sauver Thompson et que c’était sûrement la seule à le pouvoir. En attendant, les gars allèrent fouiller l’épave du navire français.
À l’aube, alors que nous attendions tous dans l’angoisse d’une mauvaise nouvelle, Neige ressortit de la cabine du Capitaine. Elle tenait à la main son foulard. Il était écarlate. Pour une raison que j’ignore, cette vision, plus que ce qu’elle nous dit ensuite me marqua profondément.
- Le Capitaine est mort, dit-elle d’une voix grave.
Et toutes les têtes se baissèrent d’affliction.
- Il a souhaité être brûlé et que ses cendres soient jetées à la mer.
Alors, avec des gestes mécaniques, tous se dirigèrent vers leurs postes et le navire se dirigea lentement vers les côtes. Je m’avançais vers Neige, mais elle se détourna et disparut dans la cabine.
Le corps du Capitaine Ned Thompson fut brûlé selon ses dernières volontés sur une petite île et ses cendres furent jetées à la mer. Nous rembarquâmes, la mort dans l’âme, pour lui et pour tous nos compagnons tombés. Car ils étaient nombreux. Au fond de nous, nous savions tous que, même si le butin était au-delà de nos espérances, c’était une erreur d’avoir attaqué un si gros navire avec si peu de moyens.
De nouveau à bord, il fallut débarrasser les affaires du Capitaine. En fouillant les papiers, Faris le petit trouva une lettre adressée à l’équipage. Le Capitaine y exposait sa volonté de voir Neige au commandement du Gardien, bien qu’il ne puisse l’imposer, les hommes devant eux-mêmes élire leur capitaine. Cette décision fut pourtant adoptée et la jeune fille fut placée à la tête d’un groupe de pirates tous plus vieux qu’elle. Mais la confiance qu’ils avaient en elle et en son expérience allait bien au-delà de ce détail.
Nous nous rendîmes à Tortuga, qui se trouvait à seulement quelques heures de navigation de là et Neige demanda à ce qu’on se mette à quai. Elle dit également qu’elle ne retenait personne et que ceux qui voulaient partir le pouvaient, car elle comprenait qu’ils refusent de rester sous les ordres d’une femme et qui plus est de son âge. Mais aucun de nos gars ne partit.

C'est que tu m'obéis en plus! xD

Han je sens un nouveau départ prendre le large.
Paix à son âme. x)

La nouvelle de la mort du Capitaine se répandit très vite sur Tortuga, si bien que dans les bars, on ne parlait plus que de lui et de Neige. Quand j’y traînais, j’entendais des rumeurs sur la possible manœuvre de Neige pour conduire le Capitaine à la mort et prendre le Gardien par la force. On disait aussi que l’équipage l’avait élue capitaine parce qu’elle s’était prostituée auprès de chacun d’eux. Je ne pus m’empêcher de réagir à ces paroles et me tournai vers l’homme qui venait de les prononcer.
- Moi, je vais te dire la vérité.
Il se tourna vers moi et le silence se fit dans la pièce.
- Neige est allée la première sur ce maudit rafiot, j’étais avec elle. C’est ensemble que nous avons tués les gardes et fait signe à l’équipage que la voie était libre. Quand tout le monde fut évacué ensuite, parce qu’il y avait trop de morts, elle est restée déposer de la poudre dans les cales et l’a allumée pour faire sauter le navire. Elle a plongé juste à temps pour échapper à l’explosion. Elle a ensuite passé la nuit à tenter de sauver le Capitaine. Croyez-le ou nous, c’est parce que Ned Thompson l’a recommandée que Neige est à la tête du Gardien, parce que plus que quiconque, elle avait toute sa confiance.
L’homme me regarda d’un oeil vitreux et dit d’une voix accusatrice :
- Ce sont là de bien belles histoires, le Moineau. Mais tu es encore un petit nouveau ici et on sait pas si on peut vraiment te faire confiance. Qui nous dit qu’elle a pas couché avec toi pour que tu répandes cette version ?
- Neige est un pirate, pas une prostituée.
Des rires et des protestations résonnèrent un peu partout autour de moi.
- Il a raison, lança soudain une voix par dessus le brouhaha.
Tous les regards se tournèrent vers celui qui avait parlé. Il s’agissait du Capitaine Smith, un grand ami de Thompson et très respecté sur Tortuga. Il ôta son chapeau et le posa à côté de ses pieds, sur la table.
- Je connais la petite, poursuivit-il, Elle aurait été prête à mourir plutôt que de laisser son Capitaine se faire tuer. Ned était le seul à croire en elle et il a transmis cette confiance à son équipage.
- Alors où était-elle quand Thompson s’est fait tirer une balle dans le dos ?
Des cris d’approbation fusèrent aussitôt. Smith ramena le calme d’un simple geste.
- Ned était certes fort, mais trop orgueilleux pour accepter que quiconque assure ses arrières. Il est mort dignement et c’est tout ce qu’on pouvait lui souhaiter.
L’homme qui était à côté de moi se leva et s’approcha de Smith.
- Même vous, Capitaine Smith, vous ne pouvez assurer que cette gamine n’a pas manipulé Thompson pour qu’il saborde ce navire, siffla-t-il.
Smith souffla la fumée de sa pipe à sa figure et se mit à rire. Je répondis à sa place.
- Crois-tu réellement qu’elle aurait été au devant de la mort juste pour accéder à un poste de commandement, qui plus est en tuant le seul homme qui lui ait permis d’embarquer sur son navire ?
- Non, je n’aurais pas été jusque là, j’aurais simplement demandé gentiment au Capitaine de se tirer une balle dans la tête.
Je me retournais vers l’entrée et reconnut aussitôt le foulard blanc. Comme tout le monde d’ailleurs. Neige traversa la salle sous les regards curieux des pirates présents et s’accouda à la table de Smith, juste à côté de l’homme qui la critiquait ouvertement depuis tout à l’heure.
- Il semble que tu ais un problème avec moi, M.Chester..., dit-elle d’une voix douce.
Mais sa main descendit à sa ceinture et tâta son fouet. À présent que je l’avais vue s’en servir, je craignais qu’elle ne recommence. Chester aussi, apparemment. Il se redressa et recula de quelques pas.
- Non, aucun, dit-il.
- Bien, répondit Neige, puis elle lança, Et bien ? On ne sait donc plus s’amuser sur cette île ?
Et la fête reprit aussitôt. Neige s’assit en face de Smith et me fit signe de les rejoindre. Je m’exécutai et m’attablai avec eux.
- Merci d’avoir bien voulu me voir, Capitaine, dit Neige alors que je m’asseyais.
- Il n’y a aucun problème, petite. Que me veux-tu ?
- Un conseil. Le capitaine Thompson m’a dit, pour reprendre ses mots, qu’il « ne désirait pas que le Gardien lui survive sans toutefois qu’il disparaisse radicalement ». Qu’est-ce qu’il voulait dire ?
Smith partit à nouveau dans un éclat de son rire tonitruant. Quand il se tut, son sourire demeura sur ses lèvres.
- C’est bien de son genre, ça ! Réfléchis, Neige. Voulait-il que ton sloop soit coulé ?
- Non.
- Mais voulait-il que le Gardien soit le navire de quelqu’un d’autre ?
- Non.
- Conclusion : il ne voulait pas que tu hérites du Gardien, mais seulement du sloop.
- Mais... Il voulait que je le rebaptise ?
Smith hocha la tête en signe d’acquiescement et Neige sourit.
- Je comprends. Merci, Capitaine.
Elle se leva et tendit sa main vers moi.
- Au fait, je vous présente officiellement mon second. Jack Sparrow, le Moineau.
Elle se tourna vers moi.
- Si tu es d’accord, bien sûr...
J’acquiesçais lentement et elle nous salua.
- Au revoir, messieurs. Jack, je dois régler une affaire, je pars seule en mer pour quelques temps.
- Quoi ?!
- Je m’en sortirais, c’est bon. Capitaine.
Smith lui serra la main et elle sortit. Devant mon regard effaré, le capitaine dit d’une voix grave :
- Tu devras veiller sur elle, Sparrow. Mais pas au point de l’empêcher d’agir en tant que capitaine. La laisser faire ce que lui dicte son instinct est la meilleure des choses que tu pourras faire pour elle.
- Mais elle prend des risques inutiles !
- Sais-tu vraiment si ce qu’elle veut faire est réellement inutile ?
Je ne répondis pas. Il avait raison.

Fufu... Personne n'a vu... ? xD

Hihi, moi aussi, j'l'aime... Jack ! mdr

J'lirais plus tard, mais ça me fait marrer parce que hier soir j'étais au ciné voir Pirates des Caraïbes 3 justement! xDDD

Hihi so happy,j'avais pas mal de suites à rattrapper, mais maintenant c'est fait.
Et j'aime de plus en plus, t'sais.
Comme à chaque fois qu't'écris !

Voilà 'ai lu. x)
J'aime bien la force de Neige, ça c'est une vraie fille!
=D