L'amoureuse [En cour]

Violine ? Une nouvelle ? Mwaha ça devient intéressant.
J'aime bien le nom des filles, avec ddes couleurs.
Tu sais que ma chambre est violine ? ^^
Breffons.
Tom est un monstre, enfin, ils le sont tous, ça fait tellement bizarre de les voir à côté de Bleu et Lucas.
Le moment féérique là, c'est quand je te lis et j'aimerais que jamais un point final ne vienne le briser.

Waw.
Y a des p'tits ronds d'espoirs autour de mon coeur.
C'est suoerbe tout ça.
Je suis d'accord avec Flash... ça fait vraiment bizarre de les voir ensemble, celà. Mais ça ne rend ton histoire que plus fantastiques =)
Suite, ma Lil's ? <3

Violine, oui une nouvelle. Un peu décalée du reste du monde. Un peu plus que Lucas et Bleu.
Non, j'le savais pas. Maintenant, oui. xD
Tom est un petit joueur par rapport à quelqu'un d'autre. Enfin vous allez voir. =)

Ma magicienne, toujours présente <3

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La suite n'étant pas encore tapé - mais bien écrite - j'vous mets à la place deux bonus. x)

Enfance de Bleu et de Lucas.
Extrait 1 :

Jusqu'a être à bout de souffle. Ils ont courus. Mains dans la main, ils se sont arrêtés à la lisière du bois, en face de la mer - la mer -.
« Dis, tu vois la lueur ? »
« Lucas ? Je suis aveugle. »
« C’est pas pour ça que tu ne peux pas la voir. »
« … »
« Imagine »
« Comment on fait ? »
Bleu était suspendue aux lèvres de Lucas. On aurait murmurer toutes les prières du monde, ces deux là ne nous auraient pas entendu.
« Le mode d’emploi n’est toujours pas sorti, p’tite sœur. A toi de trouver la clé pour ouvrir ton coffre à merveille. »
Bleu se souviendrait toute sa vie de ces paroles.

Extrait 2 :

Un sourire sincère éclairait ces lèvres. Il ne pouvait pas en être autrement, l’hypocrisie, il ignorait ce que c’était. Bleu ne le voyait pas elle, mais elle le devinait à la voix de Lucas. La gamine distinguait aussi que les yeux de son frère pétillaient de joie et que ses mains s’agitaient dans tous les sens sous l’effet de l’excitation enfantine qui possédait son corps.
« Devine ce que Maman vient de faire ? »
Bleu avait appris à ce servir de ces autres sens pour compenser la perte de sa vue.
« Une tarte à l’abricot ? »
La bouche de son aîné s’ouvrit dans un « O » parfait. Le jeune garçon attrapa la main de sa sœur et se mit à courir.
« T’es trop forte pour moi. »
Le reste ne fut qu’un éclat de rire synchronisé qui remplit l’air du temps de joie devant le bonheur évident de deux enfants qui aiment les choses simples.

S'inscrire dans l'eternité comme tu disais.

Comme je dis.